top of page

harou

A propos:     

 

Une famille au passé peu connu, réputés comme des “hommes des bois”.


Activités:     

 

Bûcherons et artisans du bois.

Psychologie:  

 

Les Harou sont des hommes et des femmes durs et entêtés. Ils s’emportent facilement et sont trop bas de plafonds que pour rapidement changer d’avis.. Mais ils sont aussi joviaux et aiment faire la fête.

Ce que tout le monde sait - ou croit savoir - sur eux:

Un Harou c’est fort, un Harou c’est bruyant et un Harou ça picole! S’il n’y avait qu’une phrase pour les décrire, ce serait celle-là. Les membres de cette famille ont toujours été des êtres robustes, paillards et tapageurs. Et d’aussi longtemps qu’on se souvienne, ils officient à Chevrouheid comme des forestiers.

L’une des plus anciennes familles du village avec les Meunier et les Freigneux, les Harou sont avant tout des bûcherons et des forestiers, leur forte condition physique et leur habilité à la cognée les désignant comme les spécialistes de ce travail (il y a bien eu par le passé d’autres habitants qui voulurent s’y essayer mais les Harou leur ont bien vite fait comprendre qu’ils n’admettaient pas de concurrence). Tout le bois qui sert aux habitants de ce hameau est donc leur œuvre. Mais les Harou sont aussi des chasseurs (grâce à eux, les habitants ont du gibier) et des spécialistes de la forêt qui entoure le hameau. Leur rapport avec cette forêt est d’ailleurs très fusionnel et ils acceptent difficilement que quelqu’un d’autre s’y aventure. Et il y a déjà eu des bagarres pour ça.

Les Harou sont des gens paillards et bruyants, toujours prompts à faire la fête. Ce sont aussi de bons conteurs - et conteuses - qui émerveillent les enfants avec des légendes dont on connaît peu les origines. Les mauvaises langues vont diront que leur esprit épais et la grossièreté de leurs traits trahissent sans doute des mariages consanguins mais mieux vaut le dire de loin: Les Harou sont toujours les premiers quand il y a de la bagarre, surtout avec un verre dans le nez. Néanmoins, leur jovialité et les services qu’ils rendent à la communauté en fait une famille appréciée, même si elle impressionne.

Chez les Harou, il y a toujours eu une autre tradition: celle de la voyante. Ho bien sûr on la dénigre et on dit au curé que c’est une ville créature mais tout le monde va quand même la voir en secret. 

Enfin, les Harou sont des époux très recherchés: ces robustes forestiers sont toujours aux petits soins pour leurs épouses, leurs soeurs et leurs mères. On ne lève pas la main sur une femme chez les Harou - et en 1347, un homme qui se comporte comme ça fait rêver. Quand à leurs femmes, elles ont des caractères forts et déterminés, ce qui attire moins les hommes…

On raconte que le nom “Harou” viendrait du nom “Waroux” et que les bûcherons de Chevrouheid seraient issus de cette famille noble qui fit la guerre pendant 40 ans dans la Principauté de Liège. Les Harou seraient-ils en fait des nobles? On s’interroge...

bottom of page