A propos:     

 

La plus importante et la plus ancienne famille de Chevrouheid.

Activités:     

 

Paysans et paysans-bouchers – agriculture, élevage, métiers de bouche.

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Psychologie:  

 

De bons gros paysans, pragmatiques et peu éduqués, vraiment très peu. Professionnels de la paysannerie, ils sont capables de faire sortir de l’or de la terre et comprennent la gestion foncière comme personne. Cette force de travail les rend terriblement arrogants et leur ancienneté dans le village leur font penser qu’ils ont tous les droits. Obtus et superstitieux, l’accueil des étrangers (tout qui n’est pas du village) ne fait pas partie de leur vocabulaire.

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Ce que tout le monde sait - ou croit savoir - sur eux:

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Les Freigneux sont là, ils ont toujours été là et ils seront toujours là!

Il s’agit de la famille la plus ancienne du village et on raconte que c’est un de leurs ancêtres qui l'a bâti, bien avant la fondation même de l’Abbaye (mais on ne dit pas ce genre de chose) - et comme personne n’est plus là pour en témoigner, personne ne remet en cause cet état de fait.

Ce sont des acharnés de travail, qui ne pensent qu’en terme de tâches à effectuer. Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, s’il faut travailler, les Freigneux vont se lever! Et il faut reconnaître que cela paye: dans toute la région, les Freigneux font la meilleure viande, le meilleur pain et le meilleur beurre. Ce n’est pas pour rien qu’ils ont la protection du Prince-Abbé.

Les Freigneux sont des propriétaires terriens jaloux de leurs prérogatives, ce qui en fait des gens arrogants et méprisants envers bon nombre d’autres villageois (les Caron en tête). Ce sont aussi des gens bourrus et obtus qui considèrent tous les gens hors du village comme des étrangers. Et les Freigneux n’aiment pas les étrangers!

Cette famille est composée de gens pieux, qui ne fréquentent guère la taverne des Lepot et qui vivent plutôt repliés sur eux-mêmes dans la crainte de Dieu et du Diable. Ce sont des gens obtus et assez “bouseux”. 

Pendant longtemps, c’est un Freigneux qui a sans conteste été le chef du village. Le changement récent n’est pas pour les rendre plus sympathiques.

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On raconte à voix basse que tout leur travail aurait été bien plus payant qu’on ne pense et que les Freigneux aurait de l’or tout le tour du ventre. Mais comme ils apparaissent comme de modestes métayers, ils doivent cacher tout cet or quelque part, c’est sûr. On verra bien la dot lors du mariage…